Pause – réflexion
Ca y est ! Enfin; après six ans et trois mois de labeur, Atlas.Mtl va prendre des vacances. Ce numéro, le 110eme, puis un 11eme à paraître le
23 juillet prochain, nous ne serons au rendez-vous bimensuel que nous avons avec nos lecteurs que le 20 août suivant, pour notre numéro 112.
Mais pour sûr, l’actualité, malgré l’été et les vacances, ne nous aura pas attendus. Gageons cependant qu’avec votre aide, nous aurons nous rattraper et reprendre notre place dans vos habitudes,
nous atteler aux tâches que nous avons faites nôtres - vous informer et agir en qualité d’animateurs communautaires - avec la même énergie et peut-être aussi, avec des idées et des rubriques
nouvelles.
C’est que maintenant, nous pouvons compter, dans le volet événementiel, sur de nouveaux partenaires, efficaces et plein de bonne volonté, comme l’Association Petit Maghreb ou le (futur) Congrès des Marocains du Canada.
Bilan
Pour ne parler que de notre action en matière de communication et d’information, nos vacances - qui seront d’abord une pause réflexion - nos vacances c’est-à-dire celles du Groupe Atlasmedias,
sont plus que justifiée par le bilan suivant : Sur les ondes de la radio La Voix des Marocains à Montréal: de nos débuts en 2002 à juin 2009, réalisation de 386 émissions, Dans l’édition : depuis
la première parution le 15 Mai 2003 à juin 2009 du journal Atlas.Mtl, 109 numéros,
En format électronique : via nos sites Web www.atlasmedias.com , www.atlasmedia.ca et www.atlasmedias.ca , mis en ligne Mars 2003, 6350 fichiers et 2 008 849 visiteurs uniques,
En télévision : réalisation de 28 reportages pour diverses chaînes de télévision du Maroc.
Et en parallèle à cela, un appui constant à de nombreuses associations, l’organisation d’événements marquants, la contribution à des causes publiques ou caritatives, des reportages et des
enquêtes qui ont débouché sur des résultats concrets dont a largement bénéficié notre communauté; et nos concitoyens.
Perspectives
Nous ne comptons évidemment pas nous arrêter en si bon chemin. Mais pour mieux faire, il est nécessaire de reposer un peu la machine. Ce ne sont pas nos collaborateurs, tous bénévoles qui diront
le contraire. Mais de Radouane Bnou Nouçaïr à Wahid Megherbi, chacun aspirait à une trêve qui leur permettra de réaffuter leur lucidité afin de mieux saisir et mieux expliquer les réaménagements
à intervenir sur la scène communautaire, mieux expliquer l’importance pour notre communauté de s’investir et d’investir l’espace public dans cette société ou nous avons choisi de vivre
etc.